Propriétés et vertus de la pierre charoïte
La pierre de charoïte est une pierre à utiliser pour développer les pouvoirs psychiques et un talisman pour les philosophes et les poètes…
En lithothérapie on utilise cette pierre de santé au chakra racine, chakra du 3e œil et au chakra du cœur pour soulager les problèmes de cyrrhose, harmoniser la tension, traiter les troubles des yeux, du cœur et du pancréas, les douleurs et les migraines.
La charoite agit surtout au niveau des émotions négatives, amenant une purification de l’inconscient, une élimination de son contenu négatif.
La charoïte est une pierre très efficace en cas de cauchemar, somnambulisme, angoisses nocturne, et très utile pour un travail en psychothérapie ou pour toute thérapie visant une guérison de la vie inconsciente.
La charoïte permet de dissiper le stress accumulé durant la journée, elle a un effet calmant sur l’esprit. C’est une pierre de charme qui harmonise les relations des couples, c’est aussi une pierre de spiritualité qui enseigne l’amour inconditionnel, la compassion, l’acceptation et le développement spirituel.
La charoïte est une pierre rare et magnifique qui offre une gamme de bienfaits sur le plan physique, émotionnel et spirituel.
Sur le plan physique, la charoïte est réputée pour ses propriétés de purification et de détoxification elle aide à éliminer les toxines du corps, renforçant ainsi le système immunitaire. En lithothérapie la charoïte s’utilise pour soulager les crampes musculaires et les douleurs articulaires.
Au niveau émotionnel, la charoïte est une pierre apaisante qui aide à réduire le stress, l’anxiété et les sentiments de peur. Elle peut encourager un sentiment de calme intérieur et de tranquillité, aidant ainsi à surmonter les émotions négatives et à favoriser l’estime de soi.
Sur le plan spirituel, la charoïte est utilisée pour stimuler l’intuition et favoriser la connexion avec le subconscient. Elle est considérée comme une pierre qui ouvre l’esprit à de nouvelles perspectives et aide à surmonter les blocages mentaux.
